Extrait des Enseignements secrets v kerdranvat
"Mon enquête s'avérait de plus en plus passionnante quand j'appris que runes, l'ancien alphabet du Nord, venait de runar, signifiant ‘’écriture secrète.‘’ De plus, comrunos voulait dire l’initié chez les gaulois et en breton, rin signifiait secret, sagesse. Il était évident que ces signes nous avaient été transmis par un peuple ingénieux et non primitif ! Les plus anciennes datées, scientifiquement, avaient été gravées dans la pierre il y a 8 000 ans. Mais beaucoup de chercheurs affirmaient que cette écriture, dite d'Hallristinger, était bien plus ancienne, et datait de la fin de la préhistoire. L'alphabet original, le futhark comportait 24 runes, tout comme les 24 planètes des Dogons !
Sidérée, je réalisai, que ces écritures sacrées ressemblaient à celles qui avaient été trouvées sur les tablettes de Vinca en Roumanie, ainsi que dans les grottes de la mystérieuse forêt de Fontainebleau, près de Paris, et celles de Glozel dans l'Allier. Ces signes géométriques étaient identiques à ceux qui avaient été découverts en Chine, près du site néolithique de Banpo que j'avais visité en 1992. Tous ces symboles avaient donc un lien avec une civilisation disparue.
Ces écritures étaient, selon mon intuition et mes recherches, plus anciennes que celles des tablettes de Sumer. Dans tous les livres d'école, on apprenait que la première écriture était née en 3 300 avant J.C. en Mésopotamie, et que ses signes cunéiformes annonçaient la fin du Néolithique et le début de l'Antiquité. Ainsi, la véritable Histoire était occultée et seule, la version première de l'écriture originale sumérienne était retenue."