Diodore de Sicile écrivait au Ier siècle av.J.C :
« Ceux qui ont écrit sur les anciens mythes racontent que dans les régions situées au-delà des Terres Celtes, il y a dans l'Océan, une île au moins aussi grande que la Sicile. Cette île est située au nord et habitée par les Hyperboréens, ainsi nommés parce qu'ils vivent au-delà de l'endroit d'où souffle le vent du nord ; l'île est à la fois fertile et productrice de toutes sortes de cultures et, comme elle jouit d'un climat exceptionnellement tempéré, elle produit deux récoltes par an. »
extrait des enseignements secrets :
...Dans cette région un mythe très populaire évoquait un serpent de mer géant. D'après les marins, l’énorme reptile avait été observé, plus d'une fois, près des Iles Lofoten ! Il avait un corps long de plusieurs mètres, épais et ondulant, surmonté d'une tête cauchemardesque. Olaus Magnus (1490-1557), un archevêque norvégien, en donnait une description précise en 1555 :
''... le long de la mer de Bergen, un serpent a bien 60 mètres de long et 6 d'épaisseur. Il sort la nuit au clair de lune pour aller manger les agneaux, les pourceaux, ou bien passe la mer pour aller manger les polypes, locustes et autres sortes de poissons et cancres marins. Il a des yeux rutilants comme une flamme. Il se lance contre les navires (...) pour aller dévorer ceux qui sont dedans (...).
Il était, encore, question d'un serpent qui se nourrissait des humains.
Les îles Lofoten avaient aussi inspiré le grand initié qu’était Jules Verne. En effet, au large des îles grondait le Maelström, l’un des plus puissants courants marins du monde dont les tourbillons avaient suscité l’inspiration du célèbre écrivain dans " Vingt mille lieux sous les Mers".
vk
(...)
Suite à un cataclysme, provoqué par une pluie de comètes, un brusque refroidissement congela l'hémisphère Nord pendant plus d'un millénaire, entre - 12 900 et - 11 600.
Il pouvait bien s’agir de la météorite de Ahnighito, une masse de 34 tonnes de fer qui frappa le Groenland il y a environ 10.000 ans. La fonte des glaces provoqua un raz-de-marée qui submergea sur plusieurs kilomètres la plaine qui s'étendait au large des côtes finistériennes. J'avais ainsi le pressentiment que les hommes du paléolithique avaient souhaité, par le biais de ces gravures, signifier un présage. (...) extrait des enseignements secrets